Perte des valeurs morales : troisième réponse
Dans notre troisième chronique sur l’identification de quelques repères sur la perte des valeurs morales, nous nous appesantirons sur l’environnement de nos enfants, notamment ceux économique et social.
Dans notre troisième chronique sur l’identification de quelques repères sur la perte des valeurs morales, nous nous appesantirons sur l’environnement de nos enfants, notamment ceux économique et social.
Dans ma première chronique sur la perte des valeurs morales, j’ai insisté sur l’existence des principes moraux qui sont immuables, mais qu’il est utile d’adapter à l’évolution d’une société mondialisée et aux milieux dans lesquels on vit.
Il y a une dame de grande qualité, très pieuse et très active socialement qui, à chaque fois que nous nous rencontrons, se désole pour la perte des valeurs morales qu’elle constate à travers notre société.
Aujourd’hui, à l’occasion des «Oscars de dictée» de notre groupe de presse Educ’Action, beaucoup de souvenirs me sont revenus de mon enfance.
Je revois aussi loin que je puisse me souvenir que ce qui préoccupait les différent(e)s maitres et maitresses, c’est la dictée. Vous me direz au CI aussi ? Oui ! À travers la phonétique, la lecture, la grammaire, la conjugaison. Ah oui, c’était le bon vieux temps ! Oui rigolez, petits cerveaux pleins de whatsapp et de joueurs de foot.
A chaque fois que j’invite mes enfants ou quelques autres personnes de la même génération, je me retrouve dans une situation où je mange avec peu d’appétit !
L’Eglise chrétienne dans son rapport à Dieu, est la plus belle chose que je connaisse!
Dans une des anciennes chroniques, j’ai presque soutenu que c’est la force de la raison qui nous permettait de continuer à faire notre devoir vis-à-vis de nos enfants et non seulement l’amour que nous leur portons.
J’ai une question qui me trotte dans la tête en ce moment.