Le ministre des Enseignements Secondaire, Technique et de la Formation Professionnelle, Mahougnon Kakpo, n’a pas lésiné sur les mots pour montrer sa farouche détermination à mettre un terme aux châtiments corporels dans les établissements du Bénin.
En effet, à travers un communiqué radiodiffusé qu’elle a signé le 15 octobre 2020, l’autorité ministérielle a rappelé à l’ordre tous les chefs d’établissements publics ou privés qui laissent pérenniser le phénomène dans leurs murs.
Selon le dernier paragraphe de la note, les chefs d’établissements publics fautifs seront purement et simplement relevés de leur fonction puis traduits devant la Commission administrative paritaire. Les établissements privés, quant à eux, se verront retirer leur autorisation d’ouverture et les auteurs seront traduits devant les juridictions compétentes, renseigne le communiqué.
Adjéi KPONON