Après des séances de sensibilisation organisées au profit des femmes handicapées sur les manifestations et risques du cancer du col de l’utérus, le consortium d’ONG « La Grande Vision Plus » et « Para Médecine pour le Bien-être des populations » passe à la vitesse supérieure. Au cours d’un atelier organisé le mercredi 28 septembre 2022, à la Maison de la Société Civile (MdSC) à Cotonou, le consortium a lancé un plaidoyer pour une accessibilité efficace des femmes handicapées aux soins de santé et à une prise en charge pluridisciplinaire du cancer du col de l’utérus. Ce plaidoyer s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre du projet « Ma vie de femme handicapée face au cancer du col de l’utérus».
A travers ce plaidoyer délivré par Mickaël Viégbé, le consortium recommande la prise des décrets d’application des lois en faveur des personnes handicapées qui trainent encore dans les tiroirs. Il s’agit, énumère-t-il, de la création des centres spécialisés de dépistage et de prise en charge pluridisciplinaire du cancer du col de l’utérus ; de la prise en compte de la situation des personnes handicapées surtout les femmes au cœur de toutes les décisions ; de la mise en place d’un creuset ou d’une plateforme réunissant les journalistes et les acteurs de la société civile intervenant non seulement dans le domaine du handicap, mais aussi dans la lutte contre les cancers.
Cette séance consacrée au plaidoyer sur l’accessibilité des femmes handicapées aux soins de santé, estime Joël Djègo, point focal handicap de la mairie de Cotonou, est une occasion tant attendue en ce sens qu’elle jette les bases d’une meilleure prise en charge de cette cible. « La cible que nous sommes en train de défendre est sensible. En matière de santé, c’est une cible qu’il faut rapidement prendre en charge. Je crois qu’avec cet atelier, beaucoup de choses vont s’améliorer et la cible va trouver une satisfaction, surtout les femmes handicapées. Elles ont besoin d’être accompagnées », renchérit Sabine Dorette Agbo, responsable des Personnes Handicapées et du troisième âge au Centre de Promotion Sociale (CPS) de Wologuèdè. Même son de cloche pour Armand Vignon, directeur de la (MdSC) qui nourrit le vœu que les recommandations de ce plaidoyer soient prises en compte pour le bonheur de la cible. La séance s’est achevée par la remise de documents de plaidoyer aux différentes parties prenantes et la distinction des partenaires du Consortium.
Après des séances de sensibilisation organisées au profit des femmes handicapées sur les manifestations et risques du cancer du col de l’utérus, le consortium d’ONG « La Grande Vision Plus » et « Para Médecine pour le Bien-être des populations » passe à la vitesse supérieure. Au cours d’un atelier organisé le mercredi 28 septembre 2022, à la Maison de la Société Civile (MdSC) à Cotonou, le consortium a lancé un plaidoyer pour une accessibilité efficace des femmes handicapées aux soins de santé et à une prise en charge pluridisciplinaire du cancer du col de l’utérus. Ce plaidoyer s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre du projet « Ma vie de femme handicapée face au cancer du col de l’utérus».
A travers ce plaidoyer délivré par Mickaël Viégbé, le consortium recommande la prise des décrets d’application des lois en faveur des personnes handicapées qui trainent encore dans les tiroirs. Il s’agit, énumère-t-il, de la création des centres spécialisés de dépistage et de prise en charge pluridisciplinaire du cancer du col de l’utérus ; de la prise en compte de la situation des personnes handicapées surtout les femmes au cœur de toutes les décisions ; de la mise en place d’un creuset ou d’une plateforme réunissant les journalistes et les acteurs de la société civile intervenant non seulement dans le domaine du handicap, mais aussi dans la lutte contre les cancers.
Cette séance consacrée au plaidoyer sur l’accessibilité des femmes handicapées aux soins de santé, estime Joël Djègo, point focal handicap de la mairie de Cotonou, est une occasion tant attendue en ce sens qu’elle jette les bases d’une meilleure prise en charge de cette cible. « La cible que nous sommes en train de défendre est sensible. En matière de santé, c’est une cible qu’il faut rapidement prendre en charge. Je crois qu’avec cet atelier, beaucoup de choses vont s’améliorer et la cible va trouver une satisfaction, surtout les femmes handicapées. Elles ont besoin d’être accompagnées », renchérit Sabine Dorette Agbo, responsable des Personnes Handicapées et du troisième âge au Centre de Promotion Sociale (CPS) de Wologuèdè. Même son de cloche pour Armand Vignon, directeur de la (MdSC) qui nourrit le vœu que les recommandations de ce plaidoyer soient prises en compte pour le bonheur de la cible. La séance s’est achevée par la remise de documents de plaidoyer aux différentes parties prenantes et la distinction des partenaires du Consortium.
Edouard KATCHIKPE
